Biographie

Pendant plus de 20 ans, Marc de LaSalle s’est intéressé aux aléas de la vie et de la condition humaine. Diplômé en Sciences de l’éducation et en psychologie, son travail redéfinit de nouvelles avenues pour étudier les paramètres et limites actuelles de la psychologie contemporaine. Par ses livres et conférences, il diffuse une information libre des dogmes ambiants afin que celle-ci contribue à actualiser chez l’homme et la femme un éveil face aux valeurs que la société véhicule.

En tant que conférencier, il partage via une parole libre des informations qui permettent de se situer dans son quotidien. Son ouverture pour l’étude favorise l’accès à une réalité de vie lointaine parfois non sue de l’Homme – mais accessible par le truchement d’une parole qui se met en opposition contre le caractère sacré de la vie.

Visiblement, l’émergence de la conscience supramentale est à la portée de l’individu, en autant qu’il puisse reconnaître pour lui-même où il se situe dans le processus de conscientisation de son expérience planétaire.

Livres

Les livres en ligne sont disponible gratuitement. Vous pouvez donc les télcharger. Cliquez sur le titre des livres pour avoir accès à la version pdf.

1- Psychologie d’une conscience adaptée à la société actuelle.

2- Communications avec les Plans parallèles.

3- Petit Manuel des Lois de la Vie.

4- La déconstruction de la société moderne.

5- La Science de l’Esprit.

6- Comprendre la mort

7- La révolution intérieure, un chemin qui s’impose.

8- La vie est multidimensionnelle.

9- La vie à deux.

10- The Couple Connection.

Pulsion vs Vibration

Quelle est la différence fondamentale ?

La vibration est la réalisation concrète d’une énergie éthérique qui traverse le mental.

La pulsion est une forme-pensée qui demeure dans l’entourage de la psyché d’une personne, jusqu’à ce qu’elle pénètre l’Ego pour le faire agir sous l’influence de la perception qu’il agit, cet Ego, intelligemment.

La vibration n’est pas une forme-pensée, c’est une dimension de l’Ego à saisir les contours de sa vie. Cela permet donc aussitôt à l’Ego d’entrevoir la réalité totale de ce qu’il ne veut plus vivre tout le temps.

La pulsion nécessite toujours une réflexion pour se concrétiser. Par exemple : l’Ego se dit « ah oui c’est Intelligent. » Bref, c’est l’intervention de l’Ego dans la réflexion qui met en action l’impression de ce qu’on décide est Intelligent. Mais, pour que tout ce que décide l’Ego puisse être associé à de l’Intelligence, il doit y avoir l’absence de croire qu’on peut se tirer d’affaires avec une décision, parce qu’on se pense Intelligent.

La pulsion en opposition à la vibration c’est quoi au juste ?

Une pulsion c’est la certitude formelle que l’Ego aime prendre des décisions, sans qu’il les questionne.

La vibration, par opposition à la pulsion, c’est l’Ego qui enclenche l’étude de ne pas donner de valeur à ce qu’il pense. C’est plutôt dire ceci : l’Ego doit savoir ce qui l’amène à agir, et non ce qui le pousse à agir. Froidement, dans ce cas, l’Ego agit toujours pour se donner plus de paix. Il se manifeste dans l’énergie du mental de l’individu la profonde volonté de n’avoir aucune attente face à la vie. Et incidemment, ce que l’Ego décide, c’est ce qu’il ne veut plus vivre.

Pour savoir si un mouvement est aligné à la vibration d’une liberté réelle, l’Ego doit notamment ne pas se poser de question sur ce qu’il pense être. L’Ego agit alors par vibration, sachant que ce qu’il décide est plus grand en liberté pour lui s’il ne place pas dans l’impression qu’il peut se donner de la liberté en faisant ce qu’il veut. Autrement dit, l’Ego sait qu’il peut lui arriver n’importe quoi tout le temps, s’il ne se méfie pas de lui-même et de la vie.

Par exemple, la vibration de faire un voyage ou de faire une sortie. Cette prise de décision, si elle est vibratoire, amènera toujours plus de paix et de liberté à l’Ego. Mais si c’est le cas contraire qui se produit, cela veut dire que l’Ego est mis sous tension. Le simple fait que ce qu’il décide entraîne un stress quel qu’il soit, il s’agit alors d’une pulsion. Si une personne vit un certain stress à la suite d’une décision, cela ne veut pas dire que la vibration de départ n’était pas réelle. Tout ce qui complique la réalisation d’un mouvement peut être récupéré par des craintes connues ou inconnues.

En résumé, une vibration permet d’ouvrir le chemin pour que se réalise ce que l’Ego voit de lui-même. Alors que dans la pulsion, l’Ego est sous influence de penser que, parce qu’il décide, il est vibratoire. Dans ce cas, l’Ego ne voit pas l’implication ni l’intégralité des conséquences de son mouvement, ce qui établit la réalité qu’il n’est pas celui qui décide, mais qu’il est sous influence astrale pour décider. Dès lors, il y a, en conclusion, toujours un prix à payer.

Les pulsions astraux-rythmiques

Les pulsions astraux-rythmiques viennent des plans inférieurs du monde de la mort et des bas plans astraux de la noirceur venant vers la Terre pour la garder en quarantaine. Les pulsions représentent le filtre animal de l’Ego animé par l’âme pour unifier l’Homme à de la non-intelligence, donc à une programmation d’âme servant ultimement la Lumière dans le processus vibratoire de l’Évolution de l’Homme. Et, étant donné qu’une programmation d’âme est jumelée à des voiles précis et animaux, insérés dans l’Ego animal par la Lumière, c’est ainsi qu’elle s’assure de la totale mainmise sur l’Évolution éventuelle de tout Homme qui s’incarne sur Terre.

Pour que surgisse l’identité cosmique de l’Homme nouveau, l’Homme n’a pas le choix de pénétrer et aussi de dévoiler à ses yeux toute sa programmation d’âme. Cela veut dire que les bas mondes involutifs de sa propre conscience animale doivent être dévoilés par lui-même, pour qu’il puisse s’en défaire totalement. Cela dit, la pulsion est une réalité astrale qui provient toujours d’une mainmise vibratoire de l’âme sur l’Ego, pour le faire vibrer à autre chose que sa Lumière. Naturellement, ce stratagème est permis par les forces de la Lumière pour ériger dans l’Ego une force intrusive dite animale servant de filtre à la pénétration de la noirceur en lui. Ce qui veut donc aussi dire que l’Homme doit souffrir suffisamment dans son Ego pour évoluer et échapper un jour à ce stratagème abominable, même si évolutif.

C’est donc dire que seule l’Inversion totale de sa programmation d’âme rendra un jour l’Homme libre sur Terre de la vie et de ses Créateurs. Ceci est une finalité vibratoire, car dès que la vie de l’âme sur l’Ego cesse, soit qu’elle ne peut plus agir sur lui via sa programmation, l’Homme redevient le seul maître à bord de sa réalité. Enfin, pour que l’Homme soit Lumière sur la Terre, cela nécessite donc l’arrêt total des interférences de sa programmation karmique sur lui. Ceci consiste en soi pour l’Ego dans l’Homme de saisir et de capter toute réalité d’une pulsion astrale sur lui voulant le soumettre à de la non-intelligence.

En résumé, la pulsion est aussi un champ magnétique astral, unifié au règne animal de la noirceur par de la pensée. Cela fait ensuite graviter occultement la vie de l’Ego avec son être vers une dimension involutive pour l’éloigner de son Intelligence pré-personnelle, afin de le conduire, selon le moment voulu par la Lumière, vers de la souffrance initiatique et vibratoire. Entre autres, la Lune est un Astre puissant connu et utilisé à bon escient par la Lumière pour faire vibrer dans l’Homme des pulsions astraux-rythmiques, selon des énergies de la pensée animale qui serviront à son Évolution – même si cela vient de la noirceur proprement dite, la Lumière le permet.

Tout ce qui a été décidé par la Lumière sert à déterminer en sourdine la courbe évolutive d’une Incarnation future, parce que sont les avenues astrales pour faire vibrer l’Homme à ses impuissances qui sont pour elle son principal lot d’études quotidiennes. Précisément, selon certaines entités astrales non-incarnées assignées par elle, la Lumière, via le cours d’une programmation de la vie d’une âme, a aussi établi qu’elle sera la puissance de l’Ego à se réinventer et à tasser l’Astral en lui.

Est-ce que l’Ego est scient tôt de tout ce qu’il doit tasser dans sa vie pour être un jour libre ? Non, car c’est seulement quand il devient totalement scient des liens de son Ego avec le monde de la mort que l’Inversion complète de sa programmation d’âme sur sa vie et son Ego se concrétise. Pourquoi en est-il ainsi ? Parce que la descente de la force Oméga en lui, soit que la dimension solaire pouvant l’habiter parfaitement est ce qui doit être l’ultime ressort pour l’amener à devenir un être solaire dans sa vitalité parfaite avec la Lumière. L’Homme doit être un cristal Lumière en parole et dans ses actes avant qu’il puisse faire état de sa liberté intégrale sur Terre. Autrement dit, l’Homme doit être totalement créatif dans toutes les décisions qu’il prend dans sa vie, pour ainsi voir à quel point ce sont les aspects astraux-rythmiques d’une conscience moindre en lui qui le déjouent dans son Intelligence.

En règle générale, il n’y a pas une âme ni un Ego animal ou inconscient qui soit en mesure sur la Terre de contredire cette réalité vibratoire. C’est-à-dire que toute conscience quelle qu’elle soit est sous haute influence Astrale tant qu’elle ne s’en libère pas totalement.

En outre, il faut énormément d’Intelligence à l’Ego pour savoir cela et aussi l’accepter. C’est dire que l’Homme ne sera uniquement que dans la force vibrante d’un mental froid, investi d’un Ego omniscient de la vie, puissant alors de sa vie sur Terre. À ce temps, l’Homme réussit à abattre ses craintes et à repousser seul toute la magnitude des champs astraux de la noirceur qui agissent sur sa vie, parce que la pensée astrale et les pulsions astraux-rythmiques de la Terre ne l’affectent plus.

L’Homme a toujours subi les acquis astraux et d’origine animale de l’âme sur sa vie, donc un être et un Ego imparfaits de la vie. Cette réalité le garde dans le spectre d’une évolution possible et lointaine, jamais accessible, si bien que la Lumière ne peut plus retarder trop longtemps le processus de la fusion de l’Homme avec sa Lumière. L’émergence de la puissance Oméga dans l’Homme est pour bientôt et la Lumière le sait. Pourquoi ? Parce qu’elle sait que dans l’assurance de cette force, l’Homme est seul devant la vie. Il a su traverser et détruire une à une toutes les aspérités les plus destructives de la noirceur sur sa conscience, ce qui fait alors de lui un être désormais libre pour l’instruire elle, la Lumière, de ce qu’il est.

Dès lors que la Lumière avait choisi d’insérer dans l’Évolution de l’Ego de l’âme de l’impuissance, c’était donc fondamental à l’Évolution de l’Homme. C’est ce qu’on appelle aussi le mensonge cosmique, qui se veut la réalité absolue d’avoir obligé l’Homme à se savoir dans son Intelligence, pour saisir tout ce qui se passe au-dessus de sa tête. Que l’Homme fasse surgir de ses impuissances égoïques la réalité qu’il est uni à des pulsions astraux-rythmiques en lui, qui l’auront aussi poussé à se contredire régulièrement au cours de sa vie, est indéniable à sa conquête de sa liberté intégrale. Que la force Oméga naisse en lui est une force concordante avec cette liberté qu’il doit faire descendre sur la Terre et non une force discordante involutive.

Tout ce qui compte pour la Lumière, c’est le produit final. Faire évoluer l’Homme. Par extension, la contraction optimale de l’Ego à de la noirceur pour faire surgir dans l’Homme une force omnisciente, la force Oméga, est un cristal Lumière pour la Lumière. Cela est aussi obligatoire pour elle, car décidément, il faut de la transparence et de la lucidité dans l’Homme pour que ces réalités vibratoires se matérialisent en lui. Tout ce qui le dépasse, parce que non dévoilé, doit être dévoilé. La Lumière la veut cette réalité, car sans la reconnaissance parfaite de l’Homme à abattre les mystères, même s’ils sont odieux, puisque cachés à même l’incarnation de la vie de l’Homme dans la matière, c’est cela qui fera la différence.

Bref, l’Homme joint à une conscience animale et à une programmation astrale ne peut pas se réinventer et dompter l’astral de ses impuissances. La renaissance de l’Homme à sa Lumière procure à la Lumière l’assurance vibratoire que l’Inversion dans l’Homme des liens qui l’unissent avec la mort ou l’Astral, est un principe solaire et intelligent, qui mènera l’Homme vers une liberté de conscience totale. Selon une science de devenir conçue et réalisée selon un Savoir Universel vibrant, la création de la dimension du cristal évolutif de l’Ego scient dans l’Homme, sa force Oméga, est ce qui fera de lui un fils de Lumière. Ainsi, tout est donc possible à l’Homme, soit de comprendre avant même d’avoir abattu toutes ses impuissances, que toute sa réalité vibratoire est aussi Universelle.

À cet égard, il est alors compréhensible que la réalité vibrante de dévoiler une vibration pulsatoire venant d’une entité ou de plusieurs entités pour le faire évoluer, lui revenait donc aussi ultimement. Toute connexion de l’Homme avec sa Lumière selon une autre dimension de vie, appelée la force Oméga, ne peut qu’être orchestrée par lui et pour lui.

En résumé, tout ce qui s’accroche ou s’accoquine de près ou de loin à la conscience de l’Homme est connu et su par la Lumière. Tout sert la Lumière. Dans une programmation astrale pour manipuler l’Homme selon une fin éventuelle, proche ou lointaine, d’Évolution, la Lumière est au courant. Certes, l’Homme est donc un produit expérimental pour la Lumière, tant qu’il ne se conquiert pas en conscience de la vie, parce que l’abattement final de l’Astral dans son Ego est une dimension absolue et solaire qui lui revient. Ce segment de l’Évolution est très voilé à l’Ego par la Lumière, tant qu’il n’a pas suffisamment d’autorité Lumière pour s’opposer à la réalité de la noirceur en lui.

Initialement, la finalité totale d’une programmation d’âme fut placée dans l’Homme par une force d’explosion totale de son mental supérieur à dénoncer l’Astral en lui. Ce processus vise à répondre au principe froid que l’Homme doit avoir un centre de gravité Lumière, suffisamment vibratoire et développé, pour lui permettre de détenir une voyance absolue sur l’Invisible et sur sa vie. En l’occurrence, Savoir d’abord entièrement comment fonctionne l’Astral en lui, et ensuite établir qu’il sera toujours seul avec sa conscience lorsqu’il aura à faire naître en lui une totale autorité froide pour tasser l’Astral de sa conscience à jamais. En ces termes, cela nécessite un appointement total de son Ego scient avec sa Lumière, ce qui veut dire que l’affinement vibratoire de la conscience l’Homme avec sa Lumière est un principe total. Ainsi, tous les aspects de sa programmation d’âme, ses réalités cachées ou occultes, sont alors connus et sus de sa conscience, soit ceux-là même qui ont permis à la Lumière de toujours le précipiter dans son Ego à vivre de l’impuissance face à sa vie pour qu’il évolue.

Enfin, c’est donc lorsque l’Homme inverse toutes les polarités de l’Astral en lui par de l’Intelligence, qu’il efface de sa conscience toutes les insertions animales venant des pulsions astraux-rythmiques de la Terre. Celles-ci ont toujours cherché et voulu le faire vibrer à de l’ignorance. Dès lors, c’est dans son ultime combat avec la noirceur que l’Homme découvre son réel Soleil, soit la force Oméga qui émergera en lui comme seule source et centre froid d’Intelligence Universelle, pour qu’il puisse prendre de grandes décisions face à sa vie, à la vie et face à l’Évolution de l’Homme à venir.

À ce temps, l’Homme décide de tout, car il est fils de Lumière et aussi omniscient en Savoir et en Intelligence de la vie.

Etre-conscient

Être conscient n’implique pas qu’on est nécessairement Intelligent!

Le matériel de Bernard de Montréal peut-il être utilisé à toute les sauces afin d’amener des gens à la conscience ou encore à faire connaître son travail ?

Est-ce que tout ce qui est diffusé sert donc impérativement à la conscience de l’évolution de l’Homme sur la Terre ?

Lorsque les enseignements d’une personne sont repris d’une manière subtile qui peut à la fois être empreinte d’une supposée créativité exutoire sans être nécessairement vibratoire, il y a anguille sous roche.

Essentiellement, pour reconnaître l’intelligence d’une forme, d’une réalité, il faut établir ce qu’elle véhicule comme message cette forme. Parallèlement, afin de saisir une réalité dans sa totalité, la nécessité de l’Homme conscient à ne pas donner de valeur à une forme va de soi aussi.

L’Homme conscient ne sera jamais à la recherche d’une forme pour évoluer. Toutefois, Savoir surtout à quelle adresse se loge son Intelligence pour déterminer si une forme égaye sa vie, va de pair avec la manifestation de sa capacité à définir si une réalité diffusée se cache derrière le spectre de la croyance ou de la fascination.

En quelque sorte, est-ce que de l’Astral sert à l’Évolution d’une conscience ? Oui. Mais aussi, il faut savoir que l’Intelligence ne s’associera jamais à de l’Astral pour se véhiculer et se faire entendre. Ainsi, peut-on être à la fois astral et Lumière en même temps dans son Intelligence? Non. Si bien que tout partage des discours entendus et émis par Bernard de Montréal mérite qu’on respecte aussi l’individu. En outre, est-ce que Bernard lui-même autoriserait la reprise de son matériel pouvant servir à certaines réalités farfelues ?

Bref, dans cette volonté de plaire, de divertir, d’amuser ou de faire connaître le matériel non connu ou connu de Bernard, il y aura uniquement dans l’individu sa sensibilité et son Intelligence pré-personnelle qui pourront lui permettre d’établir si ce qu’il voit d’une réalité est intelligent ou non. Par conséquent, tout exposé ou moyen nouveau visant à faire connaître la conscience supramentale à des personnes qui ne connaissent pas Bernard de Montréal ne peut pas être chevauché par le qualificatif que tout est bon.

Selon tout ce qui se fait ou se dit sur la conscience, il ne s’agit pas de s’attaquer à l’individu qui réalise une quelconque vidéo pour expliquer à des inconnus qui était Bernard de Montréal. Mais simplement, il est de l’ordre de l’Intelligence qu’une personne puisse établir par elle-même si ce qu’elle perçoit dans sa sensibilité est de mauvais goût, voire non représentatif de tout ce que pouvait être Bernard de Montréal. Disons que tout inconfort cache toujours une réalité en soi qui n’est pas alignée systématiquement sur de l’Intelligence, ce qui fait en sorte que le but visé par un discours cache aussi des sous-formes.

Ainsi, celui qui témoignera de la réalité de Bernard de Montréal ne pourra jamais établir que Bernard serait en accord avec la manière qu’on utilise son matériel. Toutefois, toute forme imparfaite quelle qu’elle soit devient aussi un tremplin d’étude vibratoire permettant de saisir dans la construction de l’identité d’une personne, sa sensibilité. Ainsi, si une personne peut se permettre certains égarements, en retour, elle ne pourra s’habiter parfaitement en Lumière. Finalement, de dire que de la conscience ça ne se prend pas au sérieux, ne veut pas dire que de la conscience ou le respect d’une personne envers une autre n’a pas à être examiné et revu. À chacun de voir ce qui se trame derrière une réalité. On peut très bien se donner l’impression d’être créatif dans son énergie, alors qu’on ne l’est pas du tout.

Somme toute, une vibration ça ne se discute pas. Par contre, lorsqu’une personne considère qu’une forme ne convient pas à sa sensibilité, parce qu’elle égratigne alors sa vision de ce que doit être et devenir le discours de la conscience, cela n’est pas banal, car une forme émise peut facilement aussi cacher des sous-formes. Quand une forme dérange vulgairement la conscience d’une personne, c’est souvent parce qu’on essaie de placer dans le mental de l’Ego des lois d’impression astrales pouvant ensuite se faire passer pour de l’Intelligence.

Il faut donc nécessairement revisiter toute forme diffusée pour pénétrer en vibration ce qui se trame derrière elle. Est-ce simplement de la naïveté de la part de l’auteur, d’une volonté de fasciner l’ego à la réalité que tout est bon, alors que tout aussi peut être très loin de ce que l’Individu qui se fait parodier a émis comme vibration. Dans ce cas, ce n’est donc pas la volonté de l’Homme qui est servie par de l’Intelligence, mais bien la volonté astrale de l’Ego à vouloir plaire ou à faire passer son propos pour de l’Intelligence supramentale, alors qu’il s’agit d’une intelligence rationnelle.

De l’Intelligence ça ne se réfléchit pas !

Dans la construction d’une identité réelle, il y a des segments de la vie plus difficiles que d’autres. Précisément, l’Ego est dans l’obligation identitaire de s’étudier à partir de nouvelles bases de la vie. Comme base première, c’est l’Intelligence Universelle qui vient à elle sans qu’elle le choisisse. Cette Intelligence vient d’ailleurs et c’est elle qui détermine la construction et la vitesse des transmutations que vivra un Ego, à un rythme qui ne dépend pas de sa volonté d’intégration.

Proprement parlant, l’Ego ne possède pas de mesure exacte de la courbe Évolutive qu’il vivra pour évoluer, sinon que d’en réaliser la profondeur. Toute réflexion est un retour négatif sur sa réalité, soit que l’Ego prend pour acquis qu’il ne doit pas y avoir de souffrance à son Évolution future. C’est malheureusement le contraire qui se produit. Si bien que toute réflexion de l’âme, engagée dans l’illusion que la pensée de croire que l’Évolution de l’Homme et de son Ego peut et pourra se faire sans compression, est une arnaque luciférienne pour dire à l’Homme qu’il n’est pas Intelligent de souffrir pour Évoluer.

Pour le moment, c’est irréel et cala amène donc de la réflexion. Se réfléchir est donc une porte facile à emprunter pour l’Ego dans la souffrance parce que, dans le sérieux de croire ce qu’il veut et désire, il ne peut concevoir cet Ego qu’il peut quand même être aimé par l’Homme scient ou conscient, même si le rapport avec son Évolution personnelle ne le satisfait pas.

La réflexion est tout ce qui empêche le plus un Ego de se réinventer. Lorsque l’individu est en processus d’initiation, la réflexion amène à l’Ego un lot de souffrances immédiates et plus grandes, parce que cela l’éloigne principalement de l’Intelligence réelle qui doit l’habiter. Autrement dit, l’Ego dans le processus de la destruction de ce qu’il a été, de ce qu’il croit être, et de ce qu’il pense savoir de lui-même, selon son passé et ses mémoires, cet Ego ne s’habite pas dans sa souffrance. Il ne fait que la rationnaliser et c’est pour cela que, dans la représentation illusoire de sa sécurité émotive et rationnelle de protéger son Ego ancien, il ne sait pas reconnaître qu’il est en processus d’initiation face à son identité réelle.

Enfin, pour que cette identité réelle se matérialise, l’Intelligence est alors la force de frappe froide la plus puissante qui soit, pour briser dans l’Ego les ponts qui le mènent à se réfléchir. Incidemment, lorsqu’un Ego est confronté à vivre de son Intelligence un jour, il ne comprend pas au départ ce qu’il vit. Ce réalisant, il devient difficile pour toute personne, quelle qu’elle soit, d’en voir la finalité. Elle ne voit que son Ego qui souffre, alors que pourtant, il y a aussi un processus de transmutation profond qui s’enclenche. Notamment, que l’Ego se doit de constater froidement qu’ultimement il souffre parce qu’il se réfléchit.

La fondation identitaire de tout Ego pensant repose uniquement sur le passé de sa réalité. Alors que la fondation identitaire de l’Ego libre de la réflexion provient de l’Intelligence qui l’habite sur les plans et qui surtout doit descendre en lui ou en elle pour remplacer le vase communicant de l’âme avec l’Ego qui oblige la réflexion.

De l’Intelligence, ça ne se réfléchit pas. Pour la simple et unique raison qu’elle est une vibration, la plus haute qui soit, pouvant forcer un Ego à se réinventer. Est-ce que chacun doit y aller à son rythme ? Bien que cela soit tout à fait erroné, puisque l’Ego ne peut toute de même pas décider de son Évolution dans le processus de l’initiation solaire. En l’occurrence, un rythme d’Évolution, ça ne se commande pas, ça se vibre puisqu’au départ, tout simplement, ce qu’on appelle de l’Intelligence, ça ne vient pas de l’Ego. Celle-ci vient de la Lumière du double qui veut fusionner avec l’Homme pour ainsi briser dans le mental d’une personne sa manière d’être, ce qui est, en un mot, son passé.

Enfin, une personne peut reconnaître cette réalité ou ne pas la reconnaître. Toutefois, en reconnaissant cette réalité, soit la destruction de son passé qui la garde dans ses mémoires prisonnières, elle se donne dans sa volonté et sa beauté éventuelle, l’Intelligence d’accepter finalement que, à la base, son Évolution ne dépendra jamais d’elle. C’est-à-dire que c’est selon le principe vibratoire des fondations initiales de son incarnation à savoir et à reconnaître vitalement que de l’Intelligence c’est aussi le Savoir de ce que l’on Est et de ce que l’on Sait qui déterminera le reste de son appointement en Intelligence. Ce faisant, ce Savoir devient un jour sa paix, son bien dans sa peau et sa liberté.

L’Être conscient

L’être conscient ne peut pas ne pas aimer

La dimension consciente de l’Homme reposera toujours sur l’harmonie des gens qui l’entourent. Il ne peut pas vivre trop longtemps les déséquilibres, sans que cela affecte son être. Toute absence ou temps latent de retard dans la communication, le brimera dans sa sensibilité.

C’est à ce moment qu’il lui revient donc l’urgence dans sa capacité à décider intégralement ce qu’il ne veut plus vivre, qu’il peut assurer dans son être et sa conscience son rééquilibrage harmonique qui, en fait, ne dépend que de lui.

D’autre part, il est d’une haute importance que l’initié puisse identifier ceux avec qui il pourra vivre dans un continuum absolu sa paix.

Sans cette paix, il ne peut habiter la vie de la matière qui, elle, lui devient étrangère, parce que trop astrale pour sa conscience. Il en souffrira donc temporairement psychiquement, car tout ce dont il a besoin, c’est d’exiger que l’assurance de l’harmonie qu’il y a autour de lui, ne le dissocie pas de sa vitalité mentale, physique et psychique.

Il faut ainsi à la vie des initiés des gens qui le respecteront intégralement, car sans cette fontaine de régénérescence, il s’étiolera temporairement dans une tristesse de la vie qui lui fera perdre son goût de l’autre. Alors que pourtant, il aime profondément l’individu, parce qu’il est celui qui recherche le plus dans l’autre l’essence de l’harmonie que cette personne est capable de générer.

L’être conscient ne peut donc pas vivre la vie des autres, mais il y a cette droiture en lui qui l’élève à la beauté de l’autre si on le respecte. Dans sa beauté pour harmoniser sa vie et sa conscience, l’initié sera toujours un être intégral et entier.

La vie de l’initié n’est pas de tout repos. Pour celui qui avance dans le mouvement de la conscience, il y a la nécessité que les individus qui entourent ou gravitent près de lui, puissent aimer sa conscience, selon le prisme vibratoire absolu qu’il n’est jamais un être insensible à la réalité des individus qui l’entourent.

En résumé, l’être conscient se construit dans ce besoin réel de la communication avec l’autre, puisque, dans l’échange, il est selon toute envergure transparente un être qui peut expliquer à l’homme, à la femme ou à un enfant la vie. Somme toute, il aime l’individu profondément, car ce lien qui l’unit à la race de l’Homme, et à la conscience de la vie planétaire, va de pair avec sa sensibilité. En autant qu’on puisse le respecter en tout temps dans cette sensibilité qui l’anime, il reste avec l’Homme, un conquérant du mensonge. Son besoin d’aimer n’est pas arbitraire. Il relève uniquement de sa volonté à se générer pour être bien avec l’autre.

Enfin, tout déséquilibre de la communication avec ceux qui l’entourent, le forcera un jour à se retirer dans ses terres, pour vivre uniquement de sa sensibilité, car l’instabilité de ne pas pouvoir communiquer le brimera au plus haut au point.

Paradoxalement, dans sa solitude d’aimer l’autre sans qu’il puisse y avoir un retour, il souffrira psychiquement. Cette réalité ne fait pas appel à de la psychologie qui s’explique par un manquement en lui d’intelligence, mais par une absence de compréhension de la sensibilité qui l’anime à aimer l’Homme parfaitement en Intelligence.

L’Initié aime l’Homme, l’autre, l’étranger, une compagne, un compagnon ou un ami(e), parce qu’il est intrinsèquement lié à la reconnaissance parfaite d’une générosité qui relèvera toujours de l’Évolution systémique de tout être en devenir vers une conscience intégrale, qui apprendra à le respecter. L’être conscient a donc un besoin réel de communiquer autant dans l’écoute que dans sa beauté à pouvoir sans retenue expliquer la vie et ce qu’il y a en lui face à elle.

La sensibilité de Marc

Marc est décédé au mois d’Août 2020 des suites d’un accident de vélo. Témoin de la scène et amie proche de Marc cela m’a beaucoup touchée. Le texte qui suit n’a pas pour but de rendre hommage, de tomber dans la sensiblerie ou de m’épancher sur la grandeur de cet homme mais plutôt de sensibiliser les lecteurs à ce qu’est la sensibilité.

La première rencontre avec Marc s’est faîte dans un café. Lui et moi, nous saluions à chaque fois que nous nous croisions par simple courtoisie. Nous échangions les salutations d’usages sans plus. Un jour, nous nous sommes vu dans un autre endroit toute de suite après nous être croisés au café. « Ça l’air que nous sommes dû pour nous rencontrer!» Je lui ai dit en lui tendant la main et me présentant. Surpris et amusé, Marc a souri, a pris ma main et s’est présenté également. Nous avons échangé quelques minutes puis, suite à ce que je lui ai partagé ce que je fais comme métier ( accompagnatrice auprès de personnes en perte d’autonomie/ avec démences), il m’a dit qu’il venait d’écrire un livre et qu’il m’en offrait un exemplaire. Il est allé chercher le dit livre qui sortait de l’imprimeur et était dans le coffre de sa voiture puis me l’a donné. Le livre en question; Comprendre la mort, m’a été d’une grande utilité dans la compréhension du sujet. Ironie du sort, cela m’a aidé à comprendre sa propre mort. Nous avons pris rendez-vous à ce moment-là pour nous revoir afin que je lui partage mes impressions sur le livre. Une fois la rencontre venue, nous étions l’un en face de l’autre en silence. Marc, observant mon malaise; je ne connaissais pas ses attentes et ses intentions, j’étais un peu sur mes gardes, il m’a dit : « Je suis ici avec toi pour être ton ami» Cette simple phrase a eu pour effet de m’apaiser énormément et d’avoir assez confiance pour m’ouvrir à lui. À partir de ce jour et jusqu’à la toute fin, nous avons eu cette belle et grande amitié entre nous. Marc a toujours eu la capacité de reconnaître la sensibilité, la beauté, l’expression de l’Amour, la joie, la paix, l’harmonie et l’intelligence d’une personne et de son travail. Un jour, nous étions ensemble et j’ai reçu un appel pour le travail. Je devais simplement passer pour aller chercher quelque chose chez une cliente. Marc m’accompagne. La dame était enchantée et elle tient à nous recevoir en bon et due forme. Elle nous sert des grignotines avec un verre de rosé. La dame en question a plus de 85 ans et il lui est difficile de se mouvoir, de retrouver ses mots mais a une incroyable joie de vivre, un rire contagieux et un humour très vif. En sortant de chez la dame, je remarque les yeux rougis et la gorge nouée de Marc. Je sais qu’il fait une réaction allergique au chat et la dame en a un avec de longs poils mais ce n’est pas tout à fait cela. Marc nomme, tout ému; «Elle est belle cette dame; pétillante, drôle, généreuse…» C’est une des première fois qu’il a exprimé et m’a laissé voir sa grande sensibilité.

Un autre facteur qui caractérisait sa sensibilité et qui l’aidait à rester en équilibre était l’importance qu’il accordait à sa paix, à rester en harmonie. Pour lui, un des aspects qui faisait que nous puissions être amis était qu’il pouvait se reposer; qu’il n’avait pas à travailler, à s’ajuster à mon énergie, bref qu’il avait la paix. Nous avons passé d’innombrables soirées à jouer au Crib, à aller se promener, à profiter d’un bon repas concocté, à jouer à des jeux de société avec ma fille, à écouter de la musique et des films… Il retrouvait la paix et l’harmonie aussi lorsqu’il regardait de beaux films avec des paysages à couper le souffle, du raffinement que ce soit dans les costumes ou les dialogues et dans un film avec un rythme lent où l’on peut apprécier les nuances du silence, du regard et le choix des mots. Il me taquinait en me surnommant Coco suite à notre visionnement du film Coco avant Chanel. Il disait retrouver chez moi la prestance, l’autonomie et la détermination de cette femme.

Pour la musique, il aimait le smooth jazz, Chet Baker…Un jour, il m’a fait regarder un concert live des Bee Gees. Il me faisait remarquer l’incroyable harmonie entre les membres de ce trio; chacun ayant leur voix propre, leur identité et partageant la scène sans qu’aucun des trois veule prendre tout le plancher. La dernière année avant son décès, Marc était en couple. J’ai pu rencontrer et me lier d’amitié avec sa conjointe. Ce fût pour moi une grande joie que Chloé soit à l’aise à ce que Marc soit un ami et qu’en plus, elle devienne une amie et une alliée. Durant cette année, nous avons eu l’occasion de souper ensemble et de jouer à des jeux de société. Marc, dans sa sensibilité, a toujours fait en sorte que Chloé se sente la seule femme qui compte à ses yeux. Pour ma part, de le voir en couple avec une femme qui l’aimait et qu’il aimait me réjouissait pour lui. Marc a souffert de nombreuses années à ne pas avoir réalisé de couple. Il souffrait de ne pas pouvoir aimer et de ne pas être englobé dans une énergie féminine d’Amour, de petites attentions et de plaisirs partagés.

Il a trouvé en Chloé une amie, une confidente, une amante, une support et une alliée. Même s’il nommait n’avoir besoin de personne et d’être bien seul, il a pu entrouvrir son cœur et se laisser aller à aimer. Ils ont été là l’un pour l’autre avec écoute et respect. Chloé a été auprès de lui malgré les souffrances qu’il a vécu; Marc avait des ennuis de santé qu’il a peu laissé transparaître mais dont Chloé a été témoin au quotidien. La dernière fois que j’ai vu Marc de son vivant, il m’a encouragé à ce que je poursuive dans mon projet; « Il faut que ça se réalise, le monde en a un réel besoin.» qu’il m’a dit. Je conserve ce moment de même que tous les beaux et réjouissants moments lorsqu’il m’arrive d’avoir une pensée à son égard. Ce qu’il laisse comme héritage est sans contredit tout son travail mais aussi, pour tous ceux qui l’ont côtoyé, une plus grande ouverture à capter la sensibilité des autres. Cette grande sensibilité caractérisait Marc et il en a fait son image de marque dans chacun de ses enregistrements, écrits, conférences et rencontres.

Martine alias Coco

Hommage à Marc de LaSalle

Homme de grande sensibilité, Marc avait la finesse psychique pour saisir avec précision la nature de la vibration derrière les formes et pour dévoiler et contester la désinformation venant du plan astral ou de celui éthérique. Il avait une puissance de pénétration psychique incroyable pour percevoir le réel de ce qui se passe.

Il a généré une vibration supramentale dans ses propos tout au long de la période, de diffusion publique, qu’il a connue s’échelonnant sur plusieurs décennies.

Marc a été pour moi, au fil des ans, plus qu’un invité que j’interviewais avec intérêt ou un ami, il a été pour moi un réel allié psychique dans mon processus de conscientisation et d’individuation.

Marc as été lors de son existence sur le plan physique et sera toujours un allié psychique de par le taux vibratoire de sa conscience fusionnée qui subsiste à la fin de son corps biologique et son œuvre, soit ses enregistrements de conférences, ses articles et ses livres qu’il laisse à la surface de la Terre. Il est un allié réel pour l’individu conscient, qui se conscientise et qui se conscientisera dans le futur.

Il a été et est, par-delà la forme du corps physique, la manifestation de la vibration du principe de l’Amour de l’Homme pour l’Homme et par l’Homme qui fut l’un des thèmes abordés au fil de mes nombreux entretiens avec lui.

J’ai toujours eu un grand respect pour Marc et son Esprit universel qui est vaste.

Écrivain d’avant-garde, je trouve dommage qu’il n’ait pas été reconnu à sa juste valeur par le public de son vivant sur le plan physique. Peut-être que dans les prochaines années davantage de gens, confronté à des événements de fin de cycle et qui auront suffisamment souffert de l’involution et seront davantage disposés à entendre ses propos et intégrer leur portée vibratoire?

Marc était un homme persévérant et travaillant, il m’a confié avoir œuvré à écrire son livre s’intitulant « La vie est multidimensionnel» pendant sept ans de son existence. Il a beaucoup investi d’énergie pour ce livre ayant une portée à long terme, qui, de par son contenu, véhicule des principes de conscience indémodables.

Marc laisse derrière lui une œuvre colossale, soit de nombreux enregistrements et livres qui peuvent être utiles pour l’individu qui se conscientise et qui vise à se libérer du plan astral et à ceux qui sont conscients pour les entretenir dans un état vibratoire libre du plan astral, soit celui de nature supramental.

Être exposé à sa vibration, en entendant ses propos, peut participer à changer notre taux vibratoire et donner le goût à certains de manifester leur Esprit dans leur parole et écriture.

David Lévesque

Hommage à Marc de LaSalle

La journée où j’ai rencontré Marc de LaSalle je ne me doutais certainement pas à quel point il allait contribuer à transformer ma vie.

En l’écoutant parler dans ce petit groupe de personnes réuni surtout pour échanger sur Bernard de Montréal et son héritage, j’allais de surprise en surprise en découvrant toute l’humanité qui se dégageait de lui (Humanité : disposition à la compréhension, à la compassion envers ses semblables, qui porte à aider ceux qui en ont besoin : Traiter quelqu’un avec humanité).

Rapidement je me suis rendu compte de la justesse de sa parole. Il avait cette capacité dans un groupe de discussion à toujours ramener sur la table une parole juste et à tasser les astralités de chacun.

Il distribuait généreusement ses perceptions, mais toujours avec un grand respect de chacun. Parfois son esprit semblait pénétrer le nôtre, alors qu’il n’en était rien. Il avait plutôt cette vision prépersonnelle qui lui permettait instantanément d’accéder aux niveaux supérieurs de l’esprit de chacun.

Autre élément significatif, ses propres certitudes intérieures qui l’amenaient à dénoncer avec assurance l’influence des forces occultes sur notre monde et sur nous-mêmes. Il avait cette capacité à décrire l’intangible (intangible : à quoi l’on ne peut porter atteinte ; inviolable).

Durant les années ou j’ai collaboré avec lui pour la tenue de ses conférences publiques ainsi qu’à la production de ses livres, j’ai réalisé toute la souffrance que peut connaître un initié comme lui. Sa vie était loin d’être facile et ses situations financière et personnelle ont été pour lui de grandes sources d’affliction et de souffrances.

Malgré tout, il était primordial pour lui d’organiser des conférences publiques et d’enregistrer chacune de ses conférences, non pas par vanité, mais bien pour laisser un héritage concret. On réalise mieux aujourd’hui, alors que l’accès à tout son matériel est gratuit, l’importance que cela avait.

Marc n’est plus de ce monde, mais grâce à tout le matériel qu’il nous a laissé, on peut dire qu’il poursuit son travail, mais d’une autre façon.

En conclusion je dirais qu’il a fortement influencé à peu près toutes les personnes qui ont croisé son chemin, même les plus spirituelles.

J. Bureau